L’inhumation, ou mise en terre du défunt, exige au préalable des démarches administratives liées au décès.
L’autorisation d’inhumation dans un cimetière est accordée par le Maire de la commune. Pour être enterré(e) dans une commune, il faut que le défunt soit concerné par l’une des situations suivantes :
Il faut également présenter un certificat de décès ainsi qu’un permis d’inhumer et posséder une concession dans le cimetière.
La sépulture est aménagée dans le respect du règlement du cimetière et selon les volontés du défunt ou à défaut, selon le choix de l’organisateur des obsèques.
Cette démarche est permise avec une autorisation préfectorale et sous certaines conditions : notamment en fonction de la géologie de la propriété et de son éloignement des autres habitations.
Il est aussi possible d’inhumer une urne funéraire.
Il existe plusieurs modes de sépultures pour honorer la mémoire d'un être cher après son décès. Les choix dépendent souvent des croyances religieuses, culturelles, personnelles et légales.
Traditionnellement, vous devrez surtout choisir entre l’inhumation et la crémation selon les convictions et les volontés du défunt. L’une et l’autre doivent être effectuées au plus tôt, 24 heures et, au plus tard, 6 jours ouvrables après le décès.
D’autres types de sépultures existent. Des méthodes alternatives de disposition des corps après le décès visent à intégrer un sens plus fort ou à être plus respectueuses de l'environnement, comme :
Il est important de noter que les réglementations et les pratiques funéraires peuvent varier en fonction du pays, de la région et des croyances religieuses. Si vous envisagez différentes options pour le mode de sépulture, il est recommandé de consulter les lois locales, de discuter avec des professionnels funéraires et de prendre en compte les souhaits du défunt et de l’ensemble de la famille.
Vous avez des questions liées au décès d'un proche ? La Fondation de France vous aide à trouver les réponses.